Partie 16 chapitre 5

Chapitre 5

Le mercredi matin, les trois amis se donnèrent rendez-vous chez Jacqueline.

— Salut, dit Brice à ses amies. Ça boume ?

— Moi ça va, dit Lydia. Et toi Jacqueline ? Tu ne nous dis pas bonjour ?

Jacqueline avait une tête à avoir mal dormi.

— Ah ! Heu si, si, bonjour !

— Tu rêves ? lui demanda Lydia.

— Les filles, vous êtes de vraies pipelettes, leur dit Brice. Ce n’est pas tout ça, mais on doit trouver les trois cancres de l’école.

Il sortit le bout de papier où il avait écrit les adresses des personnes suspectées d’être le fantôme.

— Notre première adresse est au 3 rue de la rose chez Mme Ponton.

— Bon, qu’est-ce qu’on attend ? Allons-y, s’écria Lydia.

Et ils se mirent en route. Quelques instants plus tard, les acolytes arrivèrent devant une grande maison orange avec des volets blancs.

— Waouh mais c’est beau ici ! s’exclama Jacqueline.

— Tu t’es réveillée ? lui demanda Lydia.

— Oui, tu vois.

Les trois amis sonnèrent à la porte.

Une dame paisible qui avait les cheveux noirs et blancs comme des films de l’ancien temps leur ouvrit. Un chat sortit à toute vitesse et alla se frotter contre les jambes de Lydia.

— Bonjour, qu’est-ce que je peux faire pour vous, mes anges ? demanda la dame.

— Heu… On a vu un de vos chats dehors, répondirent les trois enfants. Bonjour Madame.

— Que racontez-vous ? Je ne joue pas aux dames ! Allez, entrez mes enfants, ne restez pas dehors, il fait un froid de canard.

Mme Ponton les emmena dans un joli salon et leur demanda s’ils voulaient un chocolat chaud.

— Oui, pourquoi pas ? répondirent les trois amis.

Lydia en profita pour leur parler :

— Ce n’est pas elle le fantôme puisqu’elle est vivante.

— Oui, ce n’est pas grave, ne baissons pas les bras.

La dame revint avec un plateau sur lequel il y avait trois tasses de chocolat.

— Oh merci pour ce chocolat chaud ! dirent les enfants.

— Quoi vous voulez prendre un bain chaud ? demanda Mme Ponton.

— Non, on disait merci pour le chocolat !

— Ah, bien sûr, vous pouvez caresser les chats ! Ils sont mignons, n’est-ce pas ? J’en ai plein, je les adore.

(Il faudrait encore un petit peu continuer ce dialogue entre la femme et les enfants)

— Merci pour votre accueil, dit Jacqueline.

— Comment ça un écureuil ? Je n’ai pas d’écureuil !

— Désolés de vous avoir dérangée, dit Brice bien fort.

— Non, j’aime bien quand j’ai de la visite, répondit-elle. Revenez quand vous voulez.

Comments

[lala 23]

Je n'ai pas comprie l' histoire du concour ! Répondé moi vite svp !!!!!!

[lala 23]

Ce roman va ètre génial !!!

[Torch]

J'suis d'accord avec Chawn.

[Chawn]

maîtresse vous mettez rien?! domage! :o :D

[Chawn]

arrête de me recopier,Ducobu!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!..................