Partie 20
Le jeudi matin, les trois enquêteurs arrivèrent à l’école fatigués mais réjouis, la maîtresse était de retour. C’était la joie et le soulagement. Tous les élèves se précipitèrent sur elle et se plaignirent.
— Nous sommes contents que vous soyez revenue.
— C’était horrible avec le remplaçant, il nous donnait plein de punitions.
— Il nous les triplait en plus.
— Moi aussi je suis contente d’être revenue, mais ce n’est pas tout, il faut qu’on travaille maintenant. Sortez vos cahiers du jour, vous deviez préparer une dictée pour aujourd’hui.
Lydia chuchota à Brice :
— Maintenant que nous savons comment s’appelle le fantôme, il faut que nous entrions en contact avec lui. A la récré ?
— D’accord, mais il faut en parler à Jacqueline.
— Brice, Lydia ! Taisez-vous ! Je sens que vous êtes tous les deux bien dissipés aujourd’hui. Vous pourrez vous défouler à la récré, maintenant au travail !
La matinée se passa à merveille. Ils firent la dictée et deux exercices de grammaire puis dix heures sonnèrent.
— Récré pour tout le monde, vous l’avez bien méritée ! dit la maîtresse.
Les élèves sortirent.
— Il faut qu’on entre en contact avec Gaston Chlopa, dirent Lydia et Brice à Jacqueline.
— Mais comment faire ?
— Essayons de l’appeler. Gaston, … Gaston, … Gaston ! cria Lydia.
— Si tu crois que c’est comme ça qu’il va venir ! lui dit Brice.
— Allons déjà sous le préau, proposa Jacqueline.
— Mais non, tu sais bien que là-bas, tous les élèves peuvent y aller ! dit Brice.
— Alors à l’escalier secret !
— Bonne idée !
Ils se rendirent à l’escalier interdit et essayèrent d’appeler le fantôme mais en vain.
Soudain, la veste de Jacqueline s’ouvrit et se referma brusquement.
— Aïe ! cria-t-elle.
— Eh regardez, là ! hurla brice. Là, sur le mur ! Il y a quelque chose d’écrit à la craie !
Randé vou se souar la ou tou a comanssé